Exposition d’art en milieu rural

21 septembre 2025 | 14h00 - 17h00

20 et 21 septembre

Vivez une exposition collective réunissant des œuvres de peinture et de sculpture d’artistes installés dans le vert des campagnes. Une occasion de découvrir la création contemporaine au cœur des à la…

Exposition d’art en milieu rural
  • septembre 2025
    • samedi 20
      • 9h30 - 12h00
      • 14h00 - 14h30
      • 14h30 - 18h00
    • dimanche 21
      • 10h00 - 12h00
      • 14h00 - 17h00

Vivez une exposition collective réunissant des œuvres de peinture et de sculpture d’artistes installés dans le vert des campagnes. Une occasion de découvrir la création contemporaine au cœur des paysages ruraux, à la croisée de deux départements.

Point de rendez-vous : l'Office du Tourisme de Bourbonne-les-Bains.

Office de Tourisme

Place des bains, 52400 Bourbonne-les-Bains

03 25 90 01 71

L’Office de Tourisme, vaste bâtiment communal qui abritait l’ancien hôpital thermal militaire, fut totalement réhabilité par la ville en 1980. L’Office de Tourisme devient un lieu incontournable avec des services, des conseils, des animations et une véritable galerie d’exposition. La construction d'un hôpital militaire : Le 1er mai 1717, un épouvantable incendie, attisé par un vent violent, ravagea en quelques heures tout le pays, à l’exception d’une quarantaine de maisons adossées au coteau des bains. Fuyant les flammes sans rien pouvoir emporter, les habitants se réfugièrent dans les villages voisins. Il fallut alors reconstruire la ville ; la pénurie de logements était grande, les soldats trouvaient difficilement un gîte. En 1727, le curé Charles prit l’initiative d’ouvrir une maison dans la rue des bains pour héberger les militaires. L’élan était donné ; par la suite, l’hôpital militaire royal de Bourbonne s’installa progressivement entre le ruisseau de Borne et la rue Amiral Pierre, de part et d’autre de la rue Férat. En 1735, il pouvait accueillir les soldats de Louis XV, durement éprouvés par les guerres. Depuis lors, cet hôpital, doté de ses propres installations thermales, ne cessa de s’agrandir jusqu’à la fin du siècle dernier, abondamment rempli de tous les blessés des guerres napoléoniennes et coloniales.